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Merci pour ta réponse,
je suis d'accord avec toi, vu que l'atbat est plus bas que la réalité la performance de la maison n'en sera que meilleure dans la réalité. Mais sur le principe, ça me pose un problème, un BET qui fait ces calculs à la va-vite,exprimera des résultats dans son étude qui seront éloignés de la réalité. (Si il se plante dans les métrés, quid des ponts thermiques, des surfaces de planchers chauffant....)
En tant que mesureur qualifié, il nous est demandé de faire un état de la perméabilité du bien mesuré avec un cahier des charges strict et un contrôle continu de notre travail. Je trouve ça normal.
Je suis peu être naïf mais j'aimerais la même rigueur chez les autres, surtout quand la pertinence de mon travail dépend du leur.
Une question: Quant une étude est tendancieuse, que le client est pressé, ne suffit il pas, pour justifier l'atbat, de mettre le calcul des surfaces par mesures sur place ou sur plan? Cela augmentera légèrement l'incertitude du résultat par rapport à la norme, mais ce sera toujours plus proche de la réalité?
Pour le mur de refend, c'était juste un exemple pris pour dire que je ne voyais pas comment expliquer une telle différence de résultat entre l'étude et le plan. Surtout quand on pense que le plan a du servir de source au BET pour le calcul des surfaces.
Je me permet de rejoindre ce topic, car j'ai un cas qui me pose problème. Une maison a tester dont la différence d'atbat entre l'étude thermique et les plans est de 21m². Après vérification sur place, il n'y a pas de mur de refend, et les mesures prises correspondent au plan. Dans l'étude l'atbat est de 21 m² inférieur à la réalité et cela correspond grosso modo à un plafond déperditif.
Comment gèrer cette incohérence?
Bonjour,
Je travaille sur un projet de rénovation d'un bâtiment en pisé.
Le propriétaire a eu une proposition pour une isolation intérieur complète (mur et plafond) en mousse de polyuréthane projeté. J'ai indiqué mes réticences au propriétaire concernant les risques de blocage de la perspirance des murs.
L'applicateur a assuré au client que son produit était à cellule ouverture donc perméable à la vapeur d'eau.
Je profite donc de ce forum pour savoir si vous aviez un retour d'expérience sur ce type de configuration en particulier et la mousse polyuréthane en rénovation en général?
Mes interrogations concernent les interactions structure/isolant et pas qualité de l'air intérieur.
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