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Bonjour,
Nous avons profité de notre surélévation pour faire réaliser par notre maître d'oeuvre une ITE côté nord, sur une partie non surélevée donc. Pour cela, il a fixé une grosse poutre en lamellé collé contre le mur extérieur, à 30cm du sol, comme point de départ de l'isolation.
Le principe de pose était de faire passer de gros axes dans cette poutre, tous les mètres environ, et des les sceller chimiquement dans le mur. Comme il n'a pas réussi ce scellement chimique, il a choisi de traverser complètement le mur porteur extérieur et de fixer l'axe à l'aide d'un écrou et d'une plaque métallique ajourée (qui sont donc à l'intérieur = tête du boulon côté poutre, écrou et plaque côté mur intérieur).
Je me suis rendu compte d'un léger courant d'air lorsqu'on met les doigts contre certaines des plaques (donc pas avec toutes les traversées du mur). J'en déduis donc qu'il n'a rien injecté dans les trous pratiqués (type mousse expansive ou quoique ce soit qui fasse un minimum barrière) et donc que l'air peut circuler de dehors jusque dans la maison. Il a donc fabriqué des autoroutes à calories.
Mes questions :
- est-ce gênant thermiquement que de l'air passe ainsi de dehors à dedans (est-ce préjudiciable) ? En effet, les fenêtres comportent elles aussi des aérateurs (car fenêtres acoustiques) et c'est bénéfique pour la salubrité de la pièce
- aurait-il dû rendre étanches ces traversées et comment ?
- pensez-vous que ces déperditions annulent complètement l'effet isolant de l'ITE réalisée (je cherche l'ordre de grandeur = si efficacité passe de 100 à 80 c'est acceptable. Si ça risque d'annuler tout effet c'est plus gênant...)
Par avance, je vous remercie.
Bien cordialement,
Doefamily
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